Tandem : Méthode Hay-NAO-Inflation-Allègement des cotisations patronales
SOMMAIRE :
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Vous trouverez en bas de page le compte rendu CGT de la réunion de l’Observatoire GPEC (rebaptisé ODE) du 13 mai 2025.
🌡️ Canicule : votre retour d’expérience compte !
Encore une activité forte pour une grande partie de l’usine avec un engagement à 114% pour MSS où 80 intérimaires travailleront en juillet. Seul le département usinage est en décalage avec une activité à 87%. 240 intérimaires seront employés sur le site en juillet.
RRG, qui était un exemple en matière de politique handicap construite avec le terrain, voit son accord dilué dans un modèle Groupe trop centralisé.
La CGT RRG a fait le bilan :
Le 12 juin s’est tenue la première commission consacrée au Socle Social Commun (SSC), censé harmoniser les droits sociaux dans tout le Groupe Renault.
La direction de notre établissement a convoqué les organisations syndicales représentatives du site à 4 réunions de négociations pour un accord d’intéressement local.
La CGT Renault réagit au départ annoncé de Luca De Meo, PDG du Groupe Renault, à un moment charnière pour l’avenir industriel et social de l’entreprise.
La calculatrice de l’allocation d’été est disponnible !
Nombre de salariés ont pu le découvrir dans la presse ces derniers jours, le ministère des Armées a approché le Groupe Renault pour entamer des discussions dans le cadre de la politique d’« effort de guerre » menée par le gouvernement. Ces échanges avaient pour objectif d’évaluer la possibilité de mobiliser l’expertise industrielle du groupe, notamment en matière de logistique et de lignes de production, pour envisager une contribution à la fabrication de drones à destination de l’Ukraine.
- Une activité à 100% pour le mois de juin avec la fonderie et MSS à 105%. La direction prévoit 235 intérimaires sur le site.
Lundi 19 mai, les organisations syndicales représentatives de notre établissement ont été convoquées pour négocier un avenant à l’accord d’intéressement aux performances locales 2024/2025.
La majeure partie de la population pourrait penser qu’« une grande entreprise comme Renault » ne peut que respecter le droit des salariés. Même en interne, comment imaginer que Renault ne respecte pas la loi alors que nous avons plusieurs formations (obligatoires) qui nous disent qu’il nous faut dénoncer tout manquement à la loi que nous pourrions observer dans l’entreprise ?
Le samedi 6 septembre 2025, la CGT Renault Le Mans fête ses 60 ans !
Le 25 mars dernier, la CGT Renault a été auditionnée à l’Assemblée nationale.
Ce mardi 14 mai à 12h00, le site Renault de Cléon accueillera Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, pour une conférence de presse organisée sur place.
Rappelez-vous ! En octobre 2024, à la fonderie, un élu CSE CGT avait fait usage du droit d’alerte CSE par rapport aux conditions de travail des salariés du secteur fusion/chantier.
A l’initiative des députés Alma Dufour et Thomas Portes, une audition a été obtenue pour les syndicats CGT Renault en réponse à celle de Luca de Meo.
La CGT Renault Le Mans est un syndicat qui défend les droits et les intérêts des salarié(e)s. Nous sommes un syndicat de terrain. Etre proche et à l’écoute des salarié(e)s est notre priorité au quotidien.
Avec un résultat net de 800 millions d’euros et des dividendes qui vont atteindre 640 millions d’euros, seuls les principaux actionnaires profiteront pleinement des richesses produites par les salariés du Groupe Renault. Sur ces 640 millions, chaque salarié du groupe par le fruit de son travail a contribué à hauteur de 6000 euros. Une belle démonstration du partage des richesses dans le Groupe Renault !
Les qualifications des salariés sont essentielles à la performance de l’entreprise, mais elles ne sont pas reconnues à leur juste valeur.
Les années se suivent et se ressemblent. Certes, cette année, la MOP est en baisse, mais le chiffre d’affaires continue de croître. L’impact négatif de Nissan affecte largement les résultats.
Ce jeudi 20 février 2025, s'est tenue la deuxième réunion des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO), faisant suite à celle du 6 février. Lors de la première réunion, la direction s’était félicitée de sa politique de rémunération, mettant notamment en avant son plan d’actionnariat salarié. Pourtant, à l’issue de cette seconde réunion, les propositions mises sur la table apparaissent largement décevantes au regard des résultats financiers annoncés par le groupe.