Tandem : Méthode Hay-NAO-Inflation-Allègement des cotisations patronales
SOMMAIRE :
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Partout dans le pays, les filières industrielles sont touchées de plein fouet : automobile, sidérurgie, chimie, papier, aérospatiale... Des dizaines de milliers de travailleur·euses sont en première ligne, tandis que l’État reste passif et inactif. Face à cette situation, la CGT appelle à une convergence nationale des mobilisations, avec débrayages et grèves en région, le 12 décembre 2024 pour l’emploi et l’industrie. L’objectif est de mettre la pression sur les seuls responsables de cette crise : le patronat et le gouvernement.
La direction voudrait arrêter ici les « discussions » sur son plan après la réunion qui a eu lieu à Boulogne jeudi 28 novembre. Pourtant, aucun syndicat n’a vu ses revendications satisfaites, notamment sur la question des jours de congés d’ancienneté des cadres et des jours de congés de préparation à la fin de carrière. La direction veut donc passer en force et obtenir des signatures de syndicats d’ici le 13 décembre 2024.
Notre confédération a lancé un appel à la grève générale le 12 décembre 2024, afin que chaque travailleuse et chaque travailleur puisse exprimer son mécontentement !
Dans un contexte où les entreprises s’enrichissent toujours plus, les vagues de suppressions d’emplois dans l’industrie se multiplient et impactent durement la France. Mercredi 27 novembre, la CGT a présenté à la presse ses propositions pour répondre à l'urgence sociale. Elle organisera des actions sur l'ensemble du territoire, pour l'emploi et l'industrie le 12 décembre.
Lundi 25 novembre s’est tenu le dernier volet des « négociations » portant sur les thèmes de la rétribution de la performance et le Pereco (Plan Epargne Retraite). Comme pour les négociations salariales, la direction a dégainé les différents axes de sa politique globale de rémunération en y ajoutant les dispositifs de partage de la valeur et conditionnés à signature.
La négociation du 25 novembre a porté sur le dernier volet du nouveau contrat social en France, à savoir le volet rétribution, ainsi que sur la mise en conformité avec la loi concernant les bénéfices exceptionnels, dits superprofits. Dans ce cadre, une nouvelle proposition a été formulée : ajouter un axe de rétribution des salariés basé sur la progression des bénéfices du groupe, un dispositif désormais obligatoire légalement
Hier, la deuxième mobilisation contre le « nouveau contrat social » a rassemblé plus de 400 cadres et techniciens à Lardy et au Technocentre (ainsi que des salariés d’autres sites ou en télétravail connectés à distance).
Du 18 novembre au 24 novembre 2024 se tenait la 28ème édition de la Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées.
La nouvelle attaque la plus marquante de la réunion de vendredi dernier 15 novembre, c’est la tentative de vol de plusieurs jours de congés ou RTT des salariés cadres. A cela s’ajoute, pour les salariés cadres d’Ampere, la perte des augmentations de salaires automatiques à la 10ème et 20ème années d’ancienneté (1% à chaque fois). La preuve que les promesses de la direction au moment de la découpe du groupe (« rassurez-vous, rien ne change ») étaient tout simplement fausses !
La négociation du 15 novembre 2024, portait sur le temps de travail des cadres et la gestion des compteurs. Il s’inscrit dans le cadre des discussions en cours sur le nouveau contrat social France.
Les réunions du plan triennal 2025-27 sont entrées « dans le dur » depuis la fin octobre. La réunion de jeudi dernier 7 novembre a confirmé que la direction, tout en affichant qu’«elle n’a pas la volonté de réduire les effectifs », se prépare à le faire secteur par secteur dans les 3 années qui viennent.
Il aura fallu attendre la 4ème réunion de « négociation » du plan triennal 2025-27 pour que la direction arrête de « noyer le poisson » et sorte enfin du bois. Malgré ses dénégations initiales (« nous n’avons pas la volonté de réduire les effectifs »), elle veut se donner toute latitude pour supprimer des emplois dans les années (ou même mois) à venir.
Dès le déconfinement en mai 2020, l’Ugict et les autres organisations spécifiques aux Ingés Cadres Techs dans la CGT ont décidé ensemble d’une grande campagne sur le télétravail.
Dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2025, l'intersyndicale a interpellé les député·es. Les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, FO, FSU, Solidaires et Unsa en appellent à la représentation nationale et au gouvernement afin que ce texte soit profondément remanié.
La 3ème réunion du plan triennal 2025-27 a eu lieu le mercredi 16 octobre. Elle concernait la GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels), sujet obligatoire légalement et qui se sera de nouveau abordé lors d’une prochaine réunion le 30 octobre.
Après tant d’années de luttes féministes, la société française prend enfin conscience des réalités du patriarcat. Qu’elles soient des enfants, des adolescentes, des adultes ou des femmes âgées, les femmes subissent des violences sexistes et sexuelles tout au long de leur vie. Du sexisme « ordinaire » au féminicide en passant par le harcèlement, ces violences forment un continuum qui rythme et va parfois jusqu’à organiser la vie des femmes. Nous vous proposons quelques focus de ces violences et du combat que nous menons pour les endiguer.
Conférence de financement des retraites : d'autres choix sont possibles.
Le 16 octobre a eu lieu la troisième réunion de négociation sur le nouveau contrat social France. Les deux premiers sujets déjà négociés (chômage partiel et complémentaire santé), nous avons entamé les deux premiers thèmes du volet GEPP à savoir les Observatoires des Métiers (ODM) et le Contrat de Génération.
OneHealth, centré sur la prévention et le bien-être des salariés, proposerait des bilans personnalisés de santé et des outils numériques pour y parvenir. Ce programme reposerait entre-autres sur une application mobile qui permettrait aux salariés de participer à des défis de santé et de bien-être. Le programme OneHealth s’articulerait autour de 4 engagements que la direction présente ainsi :
Le 26 septembre 2024 s’est ouverte une nouvelle négociation appelée «Nouveau contrat social France» pour faire suite à l’accord Renouveau qui se terminera en cette fin d’année. Cet accord, d’une durée de 3 ans, comporte plusieurs items, tous conditionnés à la seule signature de l’accord.
Mercredi 16 octobre la direction a réuni les organisations syndicales en vue d’une négociation sur les thèmes de la Gestion des emplois et des parcours professionnels (GEPP) ainsi que du contrat de génération (jeunes/seniors).
La direction du groupe Renault a ouvert des négociations pour un nouveau contrat social France.
Depuis plusieurs années, notre pays subit une désindustrialisation marquée, affectant particulièrement le secteur automobile. La France, autrefois acteur majeur de ce domaine, est aujourd’hui reléguée à la douzième place mondiale, dépassée par des pays comme la République tchèque, la Turquie, ou encore l’Indonésie. Derrière la Chine, qui a produit 30,1 millions de voitures en 2023, notre pays peine à retrouver son rôle dans l’industrie automobile.