Il y a dix ans, l’entreprise inaugurait ce qui allait devenir le point d’orgue du dialogue social chez Renault. Les négociations de l’accord pluriannuel pour l’avenir du groupe se voulaient être un temps de réflexion où chacun, de la direction aux organisations syndicales représentatives, débâtent de leur vision de la gestion et de la stratégie de Renault.
Aujourd’hui nous sommes bien loin de donner aux salariés un droit expression.