Selon la direction de RRG, le poids d'immobilisation pour Renault est la raison principale de la décision de ces ventes, avec pour objectif d'assainir un périmètre devenu trop gros à leurs yeux. Cela n'annonce rien de bon puisque la direction avoue ainsi à demi-mot, que d'autres cessions sont possibles et qu'une troisième vague n’est pas exclue !
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