Stagnation des ventes électriques, concurrence des constructeurs chinois, normes CAFE 2025, baisse des subventions des Etats, résultats financiers des constructeurs et des équipementiers, menaces de fermetures d’usines ou de sites et/ou de suppressions d’emplois : il n’y a pas une journée sans information préoccupante sur l’avenir du secteur automobile.
Pourtant, ce sont quasiment toujours les mêmes qui s’expriment et donnent leur point de vue : les directeurs généraux des grands groupes, les analystes financiers, quelques représentants de l’Etat ou de l’Union Européenne.
Il faut arrêter ce rouleau-compresseur médiatique et idéologique car ce ne sont que les intérêts des dirigeants d’entreprises et des actionnaires qui ont voix au chapitre. Jamais les intérêts des salariés, la défense de leur emploi, de leurs compétences, de leurs salaires et de leur vie de famille ne sont mis en avant.
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