La direction de Renault SAS a soumis à la signature des organisations syndicales représentatives un projet d’accord pour accompagner les 2500 suppressions d’emplois à l’ingénierie et aux fonctions tertiaires.

Lors des négociations, la direction n’a présenté aucun plan stratégique pour l’avenir de l’entreprise, ni aucun élément financier justifiant une telle hémorragie des effectifs dans les fonctions globales chez Renault. Pendant plusieurs semaines, elle a continué ses pseudos négociations, avec une collaboration active des 3 autres organisations syndicales (CFE-CGC, CFDT et FO).

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