Un mois après le départ précipité de Luca De Meo, qui a quitté la direction de Renault avant même que les résultats réels de sa stratégie ne puissent être jugés, le groupe tourne une nouvelle page avec la nomination de son François Provost à la tête de Renault SA.
La CGT rappelle que les salariés ont déjà payé un lourd tribut aux stratégies successives : suppressions de postes (près de 9 000 depuis 2020), délocalisations de productions, pertes de savoir-faire historiques, externalisation de projets d’ingénierie, restructurations, séparation des activités thermiques et électriques, ruptures conventionnelles collectives. Ce cycle destructeur doit cesser.
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