La direction générale de Renault a présenté ce matin lors d’un CCSE « un projet de plan d’économie du groupe ». Ce plan correspond à 4600 nouvelles suppressions d’emplois chez Renault, dont 2100 pour les usines et 2500 pour l’ingénierie. Celles-ci s’ajoutent à la suppression des postes d’intérim (déjà 1000 sur le site de Flins) ainsi que de plus de la moitié des prestataires (3000 environ).
Ceci s’ajoute aux 25 000 suppressions d’emplois chez Renault depuis 2004, et ne prend pas en compte les effets collatéraux pour la filière automobile française qui a déjà perdu plus de 120 000 emplois sur la même période.
Les dirigeants conservent leurs œillères et ne changent pas de braquet.
La CGT a des propositions pour une autre stratégie pour le groupe Renault, répondant aux enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux que vous pouvez retrouver ici.
Téléchargez le communiqué complet ci-dessous.
