Les salariés de la Fonderie de Bretagne sont repartis de Paris en colère. Une délégation s'était rendue mardi (4 février) à l’Assemblée pour l’audition du patron de Renault, principal client de la Fonderie, qui ne compte pas faire marche arrière. Ses déclarations ont même été jugées provoquantes.
La colère des employés de la Fonderie de Bretagne ne retombe pas, après l'audition du PDG de Renault à l'Assemblée nationale. Luca de Meo assure, en cas de fermeture de la fonderie, qu'un poste sera proposé à chacun des 350 salariés dans l'un des sites Renault de France.
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