Après des vacances amputées pour beaucoup, c’est la rentrée et les dépenses afférentes qui posent encore de façon criante la question des salaires, à la traîne par rapport à l’augmentation des prix.
Chez Renault, comme dans toutes les entreprises, le décalage devient abyssal. Les augmentations générales de début 2023, présentées par la direction d’entreprise comme « historiques », représentent bien peu par rapport à la hausse des prix, même l’indice officiel INSEE.
En 2 ans, le manque à gagner se chiffre à 10% !
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