Des profits réalisés sur le dos des salariés qui subissent :
- Des cadences infernales dans certaines usines et du chômage partiel (financé par l’Etat et les congés des salariés(es) dans d’autres
- Le démantèlement du groupe : « vente » de 10 000 salariés (Espagne, Roumanie, Brésil...) à une nouvelle société Horse (détenue à moitié par le constructeur chinois Geely) et transfert de 10 000 autres vers 4 filiales dédiées à l’électrique.
- Une brutale restructuration du secteur automobile sous prétexte de transition vers l’électrique
- L’augmentation des prix des véhicules, (+25% en 3 ans) devenus inabordables pour la majorité des salariés qui les fabriquent.
Comme le dit Lucas De Meo, nous allons faire des Renault pour les riches, lui, il est riche, pas nous...
Téléchargez ci-dessous le tract en entier.