Rarement un tel projet de réorganisation aura eu autant d’échos négatifs auprès des salariés. L’orientation absolument financière de la réorganisation saute aux yeux de tous, comme les risques soulevés au niveau opérationnel. Au lieu de partir de considérations techniques pour organiser le groupe, c’est l’objectif de la capitalisation boursière d’Ampère d’un côté et de la marge opérationnelle immédiate de Horse-Power de l’autre qui a présidé aux choix de la direction générale.
Nous refusons cette logique financière qui a présidé au démantèlement de General Electric, d’Alstom, de la SNCF, d’EDF (malgré l’abandon, peut-être provisoire, du projet Hercule), ou plus près de nous de Continental dont est issu Vitesco.
Téléchargez ci-dessous le tract en entier.