Fonderies, usines de montage et même Recherche&Développement : d’après les grands dirigeants patronaux, le passage à l’électrique menacerait à lui seul des centaines de milliers d’emplois dans le secteur automobile en Europe.

En réalité, ils utilisent aujourd’hui ce qu’ils présentent comme une « fatalité » technologique imposée par les politiques comme un levier pour :

1. Opérer une rupture de gain de productivité (en soldant au maximum les structures directement liées aux moteurs Thermiques et en établissant de nouvelles liées à l’Electrique avec des droits sociaux rabaissés et des conditions de travail dégradées) ;
2.  Augmenter les prix quitte à rendre l’automobile inaccessible pour les « classes moyennes » ;
3.  Quémander des subsides étatiques en menaçant de détruire des centaines de milliers d’emplois si leurs demandes ne sont pas satisfaites.

Téléchargez le tract en entier ci-dessous.