Les résultats des élections européennes et la décision de dissolution de l’Assemblée Nationale ont ouvert une nouvelle séquence politique qui pourrait amener l’extrême-droite au pouvoir.
Beaucoup de salariés subissent les conséquences du « Macronisme » depuis 7 ans (ou 12 ans car, pour rappel, E. Macron a été secrétaire général de l’Elysée sous F. Hollande dès 2012, puis ministre de l’Economie et inspirateur des Lois « Travail » de 2016). Les derniers exemples en date sont la réforme des retraites de 2023 et celle de l’assurance chômage, que G. Attal veut imposer par décret la semaine prochaine. La colère que ressentent bien des travailleurs (qu’ils soient en activité, à la retraite ou privés d’emploi) est complètement légitime. Nous la partageons entièrement car E. Macron et ses gouvernements sont au service du grand patronat et des grandes fortunes depuis le début.
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